Uncut – From Blue
Klonosphere/Season Of Mist
Note : 5/5
Genre : Le retour du bon goût ?!
Comme je les écris dans mes chroniques : Dirge, Mama’s Gun, Eric Thiévon,… Le phénomène de mode des années 2000, est de mise ici ! Les retours aux sources du gros son des vinyles du passé, resurgissent dans toutes les productions actuelles. Les nouvelles générations, ont des mimétismes flagrants (Queens Of The Stone Age, The Mother Station, Clutch, The Rival Sons, et dernièrement les bonnes photocopieuses : Blues Pills, Greta Van Fleet, etc.). Si c’est pour des hommages aux différents, et plus grands groupes internationaux, qui ont eux, créés le Blues Rock Stoner Power, le Hard Rock, qui est devenu le Metal, dans les années 90’s (Revenons donc, aussi un peu en arrière, ou de nombreux artistes qui à leur époque, pillaient et singeaient, tous les bons Bluesman Black, d’outre-Atlantique, en créant finalement des nouveaux genres, et sous genres, qui à été, le phénomène  »Blues Boom » en Angleterre, dans les années 50/70’s… The Beatles, The Rolling Stones, Cream, The Yardbirds, Eric Clapton, Jeff Beck, etc.)… Là, je dois dire que c’est super, mais, si c’est juste, dans le bu de suivre un courant mercantile, pour plaire au plus grand nombre, de fanatiques multi-générations, là, je le suis moins ravis… Même si quelques formations artistiques sortent des sentiers battus, en nous amenant quelque part, dans notre subconscient… (Il y en à eu, tels que : Elvis Presley en 1953, le blanc à la voix Black, Stevie Ray Vaughan en 1975, le fils spirituel de Jimi Hendrix, The Mother Station en 1994 pour le style musical de Janis Joplin, Anastacia en 2000 pour sa voix de… Tina Turner, maintenant : Greta Van Fleet en 2017 pour la voix et son style de… Led Zeppelin, Jean-Baptiste Guegan en 2017 pour sa voix de… Johnny Hallyday et j’en passe des tonnes) !

Cependant, ceci étant souligner, les 3 furieux d’Uncut sortent eux, bien du lot, car ici tout est puissant, de la voix, au son, en passant par une rythmique d’acier trempée, parfois très mélodieuse en acoustique, et surtout les sons, des guitares qui rugissent dans les sept morceaux, comme seul savait le faire les gros dinosaures que nous avons adorés (et apparemment de la même manière de nos jours), tels que : Black Sabbath, Led Zeppelin, Deep Purple, Lynyrd Skynyrd, à leurs débuts… Ici, Uncut n’a rien inventé, les trois musiciens de talent, sont juste inspiré de leurs aînés, pour créer quelque chose de neuf avec des relents d’une époque que nous croyons tousse révolue.

Ici, le jeune trio poitevin a des multiples influences, qui créent une bien belle alchimie envoûtante. Le monde en générale à recourt à la nostalgie des années passées, en croyant que c’était mieux avant, moi je dis qu’il y aura, pleins de bonnes choses à découvrir, et de bien meilleurs moments à vivres, dans le futur, même si quelques personnes ce réfère au passé pour améliorer l’avenir… Bon, bref ! Qui vivra verra… Pour le moment, le monde se cherche et sens arrivé des différents courants qui le fait avancer, avec toutes ces nouvelles générations de musiciens virtuoses qui mélangent tout, mais qui se divisent moins, voir revivent une sensation de bonheur qu’ils pensaient perdu depuis longtemps… Je dois bien l’avoué, Uncut m’évoque tous ces sentiments qui me font remonter le temps, et c’est que du bonheur !
Chronique : @lex ‘’Black & Blue Pearl !’’ Mitr@m